Fougerouse, M-Ch., Maratier-Decléty, G. & Demeuse, M. (2010). L'évaluation des productions complexes en français langue étrangère / seconde dans l'enseignement supérieur. Paris : L'Harmattan.
Demeuse, M., Artus, F. & Maréchal, M. (2010). Conception d’une épreuve spécifique d’expression écrite « académique ». In M. Ch., Fougerosse, G. Marathier-Decléty, & M. Demeuse (Eds). (2010). L’évaluation des productions complexes en français langue étrangère / seconde dans l’enseignement supérieur. Paris : L’Harmattan. (pp. 89-95).
Demeuse, M. & Artus, F. (2010). Validation empirique de l’épreuve d’expression orale du TEF. In M. Ch., Fougerosse, G. Marathier-Decléty, & M. Demeuse (Eds). (2010). L’évaluation des productions complexes en français langue étrangère / seconde dans l’enseignement supérieur. Paris : L’Harmattan. (pp. 137-153).
La mobilité des étudiants appelle de nombreuses réflexions quant à l’internationalisation de l’enseignement des langues. Or, tout enseignement / apprentissage suppose de facto d’évaluer les compétences langagières. L’évaluation des productions complexes en est un aspect particulier que le présent ouvrage se propose de traiter selon quatre axes.
Le premier met en lumière la complexité des exigences universitaires quant à ses attentes en terme de compétences requises tant à l’oral qu’à l’écrit, qu’il s’agisse de réception et / ou de production et ce indépendamment des contenus relatifs à une discipline particulière.
Le deuxième illustre l’importance cruciale du positionnement des apprenants allophones dans des centres de langue en France en vue de constituer des groupes de niveau évolutifs pour mieux les préparer aux exigences universitaires. Cette démarche passe par la mise en place de tests diagnostics à finalité évaluative non diplômante.
Le troisième présente des auxiliaires pédagogiques pour accompagner enseignants et apprenants dans la poursuite de leurs objectifs à visée formative et / ou certificative. Une préparation s’avère nécessaire pour optimiser les chances de réussite.
Enfin, le quatrième axe interroge l’enjeu scientifique et sociétal inhérent à l’acte d’évaluation.
Qu’il s’agisse de chercheurs, de praticiens ou de concepteurs d’outils, tous fonctionnent en synergie autour d’une préoccupation constante : comment former des apprenants allophones à même de s’intégrer dans des parcours universitaires réussis ?
Demeuse, M., Artus, F. & Maréchal, M. (2010). Conception d’une épreuve spécifique d’expression écrite « académique ». In M. Ch., Fougerosse, G. Marathier-Decléty, & M. Demeuse (Eds). (2010). L’évaluation des productions complexes en français langue étrangère / seconde dans l’enseignement supérieur. Paris : L’Harmattan. (pp. 89-95).
Demeuse, M. & Artus, F. (2010). Validation empirique de l’épreuve d’expression orale du TEF. In M. Ch., Fougerosse, G. Marathier-Decléty, & M. Demeuse (Eds). (2010). L’évaluation des productions complexes en français langue étrangère / seconde dans l’enseignement supérieur. Paris : L’Harmattan. (pp. 137-153).
La mobilité des étudiants appelle de nombreuses réflexions quant à l’internationalisation de l’enseignement des langues. Or, tout enseignement / apprentissage suppose de facto d’évaluer les compétences langagières. L’évaluation des productions complexes en est un aspect particulier que le présent ouvrage se propose de traiter selon quatre axes.
Le premier met en lumière la complexité des exigences universitaires quant à ses attentes en terme de compétences requises tant à l’oral qu’à l’écrit, qu’il s’agisse de réception et / ou de production et ce indépendamment des contenus relatifs à une discipline particulière.
Le deuxième illustre l’importance cruciale du positionnement des apprenants allophones dans des centres de langue en France en vue de constituer des groupes de niveau évolutifs pour mieux les préparer aux exigences universitaires. Cette démarche passe par la mise en place de tests diagnostics à finalité évaluative non diplômante.
Le troisième présente des auxiliaires pédagogiques pour accompagner enseignants et apprenants dans la poursuite de leurs objectifs à visée formative et / ou certificative. Une préparation s’avère nécessaire pour optimiser les chances de réussite.
Enfin, le quatrième axe interroge l’enjeu scientifique et sociétal inhérent à l’acte d’évaluation.
Qu’il s’agisse de chercheurs, de praticiens ou de concepteurs d’outils, tous fonctionnent en synergie autour d’une préoccupation constante : comment former des apprenants allophones à même de s’intégrer dans des parcours universitaires réussis ?